Atelier multiforme 2/3 avec Nicolas Petisoff

Pour ce second atelier, nous avons choisis un des textes écrits à 4 mains… Enfin à 2 mains, aucun·es d’entre n’étant ambidextre…
Le texte issu des souvenirs de Sylviane, et ré-écrit par Armel a été sélectionné, notamment pour les diverses sentiments et tonalités qu’Armel y a mêlé.
En effet, il nous restait à traverser un autre média pour continuer cette promenade dans l’écriture théâtrale : le jeu. Pour ce faire, nous avons utiliser un enregistreur, un micro, un casque.

  • Dans un premier temps, Armel a enregistré ce texte, en solo, en le jouant, avec chaque sentiment qu’il y avait placé à l’écriture.
  • Puis un autre participant s’est équipé d’un casque et d’un micro pour simultanément écouter ce premier texte enregistré, le jouer et l’enregistrer.

La difficulté de la démarche consiste à répéter ce que le premier enregistrement « dicte », en imitant jusqu’aux intonations du premier lecteur/acteur, Armel.

Chacun·e s’est ainsi essayé à jouer en simultané qu’iel découvrait le texte joué par Armel sur l’enregistrement.

  • Pour terminer, nous avons réalisé un montage, relativement simple depuis les différentes bandes sonores obtenues, mêlées.
  • Dans un premier temps, Armel a enregistré ce texte, en solo, en le jouant, avec chaque sentiment qu’il y avait placé à l’écriture.
  • Puis un autre participant s’est équipé d’un casque et d’un micro pour simultanément écouter ce premier texte enregistré, le jouer et l’enregistrer.

La difficulté de la démarche consiste à répéter ce que le premier enregistrement « dicte », en imitant jusqu’aux intonations du premier lecteur/acteur, Armel.

Chacun·e s’est ainsi essayé à jouer en simultané qu’iel découvrait le texte joué par Armel sur l’enregistrement.

  • Pour terminer, nous avons réalisé un montage, relativement simple depuis les différentes bandes sonores obtenues, mêlées.
Les participants mêlent leurs voix sur un texte écrit à l’atelier.

En écoutant cet extrait sonore, cet enregistrement à 8 voix, nous voyons à quel point la personnalité de chacun·e d’entre nous influe sur notre tonalité, et comme ces intonations donnent un sens tout autre à un texte ! Ludique et passionnant, nous découvrons ainsi combien la voix est porteuse d’émotion, au delà d’un décor, d’effet de scène. Un seul en scène prend peut-être plus de sens à la lumière… du son !

Retrouvé une courte bio de Nicolas Petisoff ici ou !

Cet atelier s’est déroulé en partenariat avec le Festival Mythos et le Centre de Production des Paroles Contemporaines (C.P.P.C.), autour de la représentation de Nicolas Petisoff Comment avouer son amour quand on ne sait pas le mot Pour le Dire.